Après des années de l’ouverture de sa propre galerie à Paris, le galeriste Pascal Robaglia partage quelques leçons apprises tout au long de son parcours, pour ceux qui rêvent de suivre son exemple.
Si vous avez parcouru Paris à tout moment au cours de ces dernières années, vous aurez probablement remarqué la galerie de pascal Robaglia. Lorsqu’il a ouvert sa galerie éponyme, dans un espace qui abritait autrefois son amour à l’art, Pascal Robaglia a été accueillie avec curiosité, enthousiasme et émerveillement. Sa première exposition, Qu’est-ce que ça va être? Embrassa de tout cœur la curiosité locale, son titre rappelait tout autant les habitants de passage qui se frayaient un chemin à travers la porte du chaos du constructeur pour lui demander ce qu’il y gagnait à son ouverture face à ce qu’elle pourrait devenir à l’avenir. À présent, avec plusieurs expositions aux compteurs, la galerie prend de l’ampleur tous les mois.
Trouvez votre espace
Une galerie d’art n’est rien sans un espace pour y loger et, comme le prouve pascal robaglia, trouver cet espace était la partie la plus difficile. Il faut parfois passer de nombreux mois à enquêter et à chercher sur les immeubles vacants, les devantures de magasins vides et les pancartes «À laisser» avant de trébucher sur l’espace idéal. Dans l’état actuel des choses, la galerie se sent chaleureuse et accueillante plutôt que sobre, comme l’atteste sa clientèle variée et conviviale – le lieu idéal pour les vernissages, qui ont lieu toutes les quatre à six semaines, et qui a toujours attiré de nombreux visiteurs.
Construire un réseau d’artistes brillants
Une galerie d’art n’est rien sans une pléthore d’artistes à remplir. Avec de nombreuses années d’expériences dans le monde de l’art et un soif insatiable de voir de nouvelles œuvres et de rencontrer de nouvelles personnes, Pascal Robaglia est bien qualifié à cet égard. Cette opération commence par une liste de souhaits, explique-t-il. Avoir une grande liste à laquelle vous pouvez ajouter des noms chaque jour est une bonne opportunité. La diversité des artistes et des expositions est aussi importante que l’œuvre elle-même.
Façonner votre vision curatoriale
Aborder le travail avec les yeux d’un commissaire présente un nouveau défi passionnant. Il faut savoir ce que vous voulez et ce que voulez pas. Quand il a fallu choisir ces œuvres, il faut poser certaines questions comme :
- Puis-je la vendre?
- Puis-je en parler?
- Puis-je planifier un événement autour de cela?
- Cela fonctionnerait-il avec les autres pièces?
Il ne faut pas simplement dire« Oh wow, j’adore ça ». Il faut regarder les choses avec des yeux différents, avec l’œil d’un galeriste et des clients. Tout le processus a donc consisté à apprendre.
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